What makes a good logo?


What makes a good logo? A good logo is distinctive, appropriate, practical, graphic, simple in form and conveys an intended message.
There are five principles that you should follow to ensure that this is so…

An effective logo is (in no particular order):
  • Simple
  • Memorable
  • Timeless
  • Versatile
  • Appropriate

1. Simple

 A simple logo design allows for easy recognition and allows the logo to be versatile & memorable. Good logos feature something unique without being overdrawn.

2. Memorable

 Following closely behind the principle of simplicity, is that of memorability. An effective logo design should be memorable and this is achieved by having a simple, yet, appropriate logo.

3. Timeless

 An effective logo should be timeless – that is, it will stand the test of time. Will the logo still be effective in 10, 20, 50 years?

Probably the best example of a timeless logo is the Coca-Cola logo… if you compare it to the Pepsi logo below, you can see just how effective creating a timeless logo can be. Notice how the Coca Cola logo has barely changed since 1885? That is timeless design.


4. Versatile

An effective logo should be able to work across a variety of mediums and applications. For this reason a logo should be designed in vector format, to ensure that it can be scaled to any size. The logo should be able to work both in horizontal and vertical formats.

Ask yourself; is a logo still effective if:
  • Printed in one colour?
  • Printed on the something the size of a postage stamp?
  • Printed on something as large as a billboard?
  • Printed in reverse (ie. light logo on dark background)

5. Appropriate


How you position the logo should be appropriate for its intended purpose. For example, if you are designing a logo for children’s toys store, it would be appropriate to use a childish font & colour scheme. This would not be so appropriate for a law firm.
It is also important to state that that a logo doesn’t need to show what a business sells or offers as a service. ie. Car logos don’t need to show cars, computer logos don’t need to show computers. The Harley Davidson logo isn’t a motorcycle, nor is the Nokia logo a mobile phone. A logo is purely for identification.

 

 

 

 

MICHAL BATORY aux Arts Décoratifs (Paris)

ARTISAN DE L'AFFICHE


Une rétrospective majeur de l'oeuvre de Michal Batory, l'un des graphistes les plus en vue et les plus reconnus au plan international. Né en 1959 en Pologne, il y a fait ses études à l'Ecole Nationale d'Arts Plastiques de Lodz avant de s'établir en france à la fin des années 80. Michal Batory a gardé un style constant, utilisant collage et photomontage pour réaliser des visuels surréalistes où le vivant surgit de la matière, ou l'humain se mêle à l'animal ou à la plante.
Avec en plus un sens de la mise en scène, de la construction de l'affiche qui fait honneur à la tradition polonaise de l'affichisme, et une démarche créative pleine de bon sens.

Michal Batory, artisan de l'affiche au musée des Arts Décoratifs Certainement la rétrospective de l'année 2011 en graphisme!

Voici  quelques une de ses affiches :


























Photographies artistiques de la ville de Détroit en ruine



 Detroit (USA) en ruine

Heurtée de plein fouet par la crise, la capitale de l'industrie automobile américaine, Detroit, a perdu 400.000 emplois depuis 2008.
Detroit s'inscrit dans l'ancien âge d'or de l'industrie du XIXème siècle, symbolisant la puissance économique américaine en étant, il y a une dizaine d'années, une des villes les plus riches des Etats-Unis.
Aujourd'hui, elle est encore la capitale nationale de l'automobile. Les grandes firmes comme Ford, Chrysler ou bien General Motors y ont été créent, et sont toujours en grande activité. La ville organise chaque année, un des plus grands salons de l'automobile du monde. Mais les multiples délocalisations (majoritairement dans l'automobile, mais également dans d'autres secteurs), la crise de l'industrie automobile ainsi que la concurrence, ont provoqué un chômage de masse. La ville vit des heures très difficiles, à l'image de quartiers entiers en ruines suite au départ de ses occupants (environ 90 000 habitations fantôme).

Ce résultat donne à Detroit la triste réputation de la grande ville la plus pauvre des Etats Unis, avec un seuil de pauvreté deux fois plus élevé que la moyenne nationale. L’administration de Detroit (gouverner par le démocrate Kwame Kilpatrick depuis 2001) a même décidé de réduire la surface en créant des zones rurales et vertes, à l'endroit des ruines de maisons abandonnées (quartiers fantômes).
Parallèlement, la délinquance y est aussi très importante. Trafiques, violences et criminalité font de Detroit la ville la plus dangereuse des USA en 2009.
Comme dans le reste du pays, la classe moyenne du Michigan s'est, quant à elle, considérablement paupérisée. Des employés de General Motors manifestaient la semaine dernière contre un plan de réduction des salaires par deux.

Deux ans après la descente aux enfers de l'industrie automobile américaine, Detroit offre toujours un spectacle effarant. Certains quartiers font penser à ces villes russes délabrées après l'effondrement de l'Union soviétique. On ne compte plus les maisons abandonnées ou incendiées. Detroit a subi un exode si massif ces dernières années que le maire a entrepris au printemps un projet utopique: la démolition des quartiers devenus trop dangereux, pour regrouper écoles, stations de pompiers et postes de police dans une ville «rétrécie».

Cette histoire post industrielle de l'Amérique a été saisie exceptionnellement par les photographes Yves Marchand et Romain Meffre. Les rues présentent des hôtels abandonnés et des piscines délaissées, des cinémas ruinés et des écoles désertes, preuves du déclin de la cité de la voiture.

Espoir !
L'ancien fief de l'industrie automobile américaine offre une fiscalité irrésistible aux studios de cinéma.
Avec «Gran Torino», Clint Eastwood fut l'un des premiers à tourner dans le Michigan, profitant ainsi de la fiscalité locale avantageuse pour l'industrie du cinéma. 













Photos des photographes français Yves Marchand et Romain Meffre